Agamemnon Scribouillard en Chef "Coin du Feu"
Nombre de messages : 68 Date d'inscription : 11/02/2007
| Sujet: [j128] Biker Agamemnon - La perversité des flics de GdL Lun 21 Jan - 22:52 | |
| La perversité des flics de la Capitale Il y a quelques jours de celà je me suis insurgé contre les forces de police de la Capitale. En effet à force de chercher des noises à ma femme, il fallait bien que celà finisse par arriver. Aujourd'hui les criminels peuvent se balader en toute tranquillité à Gueule du Lézard...Et oui, moi qui était jusque là quelqu'un de relativement droit et honnête, qui ne combattait les forces de police qu'en cas de nécessité absolue, lors des guerres par exemple, je me suis rebellé et je suis devenu un tueur de flics. Et ils ont été nombreux à tomber sous mes coups cette semaine. Sans aucun scrupule, je les ai abattu. Ma gentillesse a des limites, et là, ils ont poussé le bouchon beaucoup trop loin. Qu'est-ce qui a pu se passer pour que je décide d'anéantir les forces de police de la Capitale, d'aller pousser un coup de gueule au commissariat, au Ministère de l'Intérieur et enfin au palais Impérial? C'est très simple. Ma femme et moi sommes depuis des lustres défenseurs de la faune. Nous nourrissons régulièrement les primitifs dans une province où ils sont amenés à disparaître, à cause de nombreuses chasses, que nous pratiquons également. Mais nous ne sommes pas des viandards, nous protégeons aussi les animaux. La semaine dernière, Neïnna partait en balade et sur son chemin elle croisa quelques primitifs. Elle décida alors de leur offrir une belle pomme qu'elle avait dans son sac, et là les gardes champêtres l'ont vu à l'oeuvre. Bien que depuis longtemps il soit possible de nourrir des monstres en Elmérie, les Grades Champêtres restent relativement titilleux, il y a qu'à voir la façon avec laquelle ils m'ont arraché mes papiers de Grand Khan. La semaine dernière donc, ils ont décidé d'appréhender Neïnna. Et c'est pas la première fois que ces types décident de la fouiller au corps, un peu trop près selon mon goût. Je suis pas un mari très jaloux, entendons-nous, mais il est hors de question que je laisse n'importe quel zouave en uniforme plotter ma femme. Quand j'ai appris la nouvelle, comme quoi elle était fouillée dans une cellule de la prison, j'ai simplement été vandalisé le commissariat, retournant tout sur mon passage. Là les flics qui m'ont vu ont essayé de m'appréhender, mais j'étais dans une fureur monstre. Ils y sont tous passé. Rouge de colère, aveuglé par le désire de vengeance, je les ai tous traqué en ville, pour qu'ils paient de leur sang leur perversité. Aujourd'hui, certes, la ville n'est plus très sûre. Mais personne n'osera toucher aussi facilement la belle Neïnna. Bien que le Khan me reproche ces faits, il est prévenu de mieux choisir ses services de police, à l'avenir. On ne joue pas avec les sentiments d'une brute épaisse... | |
|